12 juillet 2006

LA tente Maréchal !



ci contre celle du film








VOYAGE EN CROATIE :

- Et on dort où ?
- Dans une tente Maréchal
- Une tente Maréchal ? ...

Association directe d'images... LA tente Maréchal, LA tente beauf s'il en ait... LA Roll Royce du campeur en camping, le confort des vacances à mi chemin entre Robinson Crusoe et la maison (avec Télé siou plait). Enfin et surtout, LA tente du récent film qui humilie tous les campeurs français.
Grosses gouttes sur le front : "est-ce possible ?" ; "encore merci à la Camif et son catalogue plébiscité par les profs" et puis ouf ! Maréchal fabrique aussi d'autres modèles...
Arrive alors le séance de "l'échauffement" : tous dans le jardin, on chronomètre le temps de montage... puis de démontage.
"Top ! C'est parti !". Et on déballe et on pique, dépique, démonte pour remonter... rien ne va ! La Camif indiquait : "montage facile"... ça commence à pester, ça transpire, ça s'insulte... enfin 45 minutes plus tard la tente est plus ou moins formée... Fiasco sur fond de mélodie découragement...
Allez ! On leur renvoie leur Maréchal ! Avec un nom pareil... on ne pouvait pas espérer de grandes choses... on a jamais aimé les Maréchal ! Vraiment bien une tente de beauf... même si elle n'en a pas l'allure, une tente pour campeurs sédentaires, à monter le 1er juillet et dépiqueter le 31 août ! Nous on veut du ROOTS !

11 juillet 2006

Je viens du sud


Vous les aficionados de LGF (alias la grande fille)... pas de panique ! Elle revient comme en 40 au mois d'Août, avec plein d'images de Croatie dans la tête ! Mais d'ici là, elle recharge ses batteries... en Méditerranée évidemment !
Promis, je n'oublierais pas toutes les idées auxquelles je pense pour mon blog (pour les impatients, 4 notes se mettent en place, la première portera sur "le temps des gitans" d'Émir Kusturica, la seconde sur le dernier Guédiguian ; au programme aussi un mot sur Odilon Redon et son contemporain Georges Rodenbach ; j'annonce d'autre part qu'il faudra fêter les un an du blog de LGF !). Bref, encore tant de choses à écrire ! Je sais, il faut que je passe au roman... en attendant la ponte finale, je pars faire mon Flaubert, et noterais tout de ce voyage en Orient, comme pour emmagasiner la matrice indispensable à l'éclosion du chef d'oeuvre !