Une lecture du journal de Jules Renard par Fanny Ardant et Jean-Louis Trintignant ça promet de payer !
À vrai dire, je ne connais pas grand chose de Jules Renard... je dois avouer que "Poil de carotte" constitue à peu près ma seule lecture du dit auteur... Et bien raison de plus pour le découvrir incarné par deux "monstres" du cinéma français. Les voilà qui arrivent sur scène, accompagnés d'un troisième lardon (inconnu aux bataillons) et qui prennent place à leurs pupitres respectifs. Mince ! ça sent le "figé" à plein nez... on risque de s'ennuyer ferme ! Peu ou prou, on s'installe dans la lecture qui, ( notre intuition première a été bonne) promet d'être longue et... longue ! Les maximes et autres bons mots de Jules Renard sont de qualité inégale : parfois son cynisme fait sourire, parfois c'est tout simpalment pas drôle du tout. Heureusement la scène dure une heure tout juste (ouf ! on commençait discrètement à chercher une montre). Trintignant sur le retour qui bafouille et bute sur ses notes, et Fanny Ardant à lunettes qui lit son texte, ça va un temps !
Bien décevant donc, de voir nos deux célèbres acteurs lire leurs papiers, sans nous faire une vraie démonstration de leur talent. La tête d'affiche laissait espérer mieux... en tout cas une plus grande implication personnelle des acteurs. Il nous reste au final le souvenir d'un spectacle insipide que n'importe quelle voix aurait pu satisfaire.
instants choisis commentés pris dans l'actu culturelle ☉ créations littéraires & photographiques ☉ coups de bouches & billets d'humeur
27 octobre 2006
22 octobre 2006
Le point sur les lieux hautement touristiques
Toutefois l'impression générale est favorable. Notamment parce que la géographe a beaucoup de recul et sait amener beaucoup de comique dans sa narration... et puis on ne peut pas nier que ces chroniques sont une agréable découverte des lieux hautement touristiques de la planète, tous soigneusement "fabriqués" et conformes aux attentes de ceux qui viennent les découvrir. Le constat est sévère mais aussi très lucide : dans nos sociétés le tourisme devient un produit de consommation comme un autre, et justifie de fait une réelle mise en scène des lieux... puisqu'il faut que le "Mimile en caquette" en ait pour son pesant d'or !
21 octobre 2006
Pour ou contre la coupe Jean Louis David ?
Voilà un an que j'essaie de faire comprendre à mes divers coiffeurs (entre Toulon et Paris !) que je voulais CETTE coupe... Pourtant j'avais une photo de taille raisonnable... pas un timbre poste sur lequel le coiffeur doit en fait deviner la coupe de vos rêves (dans ce cas, il faut d'ailleurs dire que la séance coiffeur-tant-attendue tourne au fiasco total) !
Pourtant les 3 coiffeuses auxquelles j'ai eu le plaisir de laisser ma tête, n'ont jamais osé tailler un bout de frange dans mon épaisse tignasse! Bon Dieu de bon Dieu, c'est pas sorcier une frange !
Me voilà donc de retour chez mon Jean Louis David parisien... Opiniâtre quoiqu'un tant soit peu blasée, je tends une fois de plus à Stéphanie mon bout de magazine, désormais tout mou et chifonné de pliures... et là, miracle, elle s'exécute... et exécute la dite coupe... Halléluia !Comme quoi mieux vaut tard que jamais... après 12 mois d'attente, il faut cependant que je réalise alors avoir lorgné les affiches qui couvrent les murs du salon, que ma coupe est carrément old fashion... sortie définitivement du catalogue automne-hiver 2006-2007, l'angoisse ! J'essaie de me consoler en repensant au "diable d'habille en Prada"... bon sang, elle est pourtant coiffée comme ça la nana !
Pourtant les 3 coiffeuses auxquelles j'ai eu le plaisir de laisser ma tête, n'ont jamais osé tailler un bout de frange dans mon épaisse tignasse! Bon Dieu de bon Dieu, c'est pas sorcier une frange !
Me voilà donc de retour chez mon Jean Louis David parisien... Opiniâtre quoiqu'un tant soit peu blasée, je tends une fois de plus à Stéphanie mon bout de magazine, désormais tout mou et chifonné de pliures... et là, miracle, elle s'exécute... et exécute la dite coupe... Halléluia !Comme quoi mieux vaut tard que jamais... après 12 mois d'attente, il faut cependant que je réalise alors avoir lorgné les affiches qui couvrent les murs du salon, que ma coupe est carrément old fashion... sortie définitivement du catalogue automne-hiver 2006-2007, l'angoisse ! J'essaie de me consoler en repensant au "diable d'habille en Prada"... bon sang, elle est pourtant coiffée comme ça la nana !
10 octobre 2006
Mondialisation des photos
09 octobre 2006
La grande fille et de tout petits arbres
Visite au parc floral, maintes fois loué par la famille Brial... au final, on est un peu déçus... on s'attendait à être subjugué par les beautés de la nature... mais octobre n'est sans doute pas la meilleure saison pour apprécier les lieux.
Le pavillon des bonzaïs obtient mes meilleurs compliments... un vrai travail d'artiste ! De superbes pièces notamment de petits arbres qui datent de la fin du XVIIIème siècle... totalement déconcertant ! De quoi devenir fous de bonzaÏ...
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